Guy Bedos, rédacteur en chef invité

Politis  • 18 juin 2009
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« Il faut vraiment que la gauche soit nulle pour que ce type ne se fasse pas complètement esquinter. Je me souviens d’une phrase d’Arletty, qui avait la réputation d’être assez aimable avec les Allemands. Il ne fallait pas les laisser entrer », disait-elle. J’en veux aujourd’hui à Jospin et à Chevènement d’avoir fait le travail pour laisser entrer Sarkozy, avec leurs campagnes de merde ! »

« Je ne comparerai jamais Anne Frank et Primo Levi avec Ariel Sharon et Benyamin Nétanyahou, et l’on pourrait ajouter cet étrange monsieur Liebermann.
Quand je vois un gouvernement juif
d’extrême droite, je me pince ! »

« Je ne crois pas aux hommes providentiels mais, selon la formule, en politique, il faut savoir choisir entre deux inconvénients. Hé bien, je préfère l’inconvénient Obama à l’inconvénient Bush »

Les échos
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