Rendez-vous le 6 février

Denis Sieffert  • 28 janvier 2010 abonné·es

Chers lecteurs, membres de l’association « Pour Politis », et chers amis, nous sommes à deux semaines de notre assemblée annuelle. Comme la tradition le veut, et comme le permet l’hospitalité du maître des lieux, Hugues Leforestier, celle-ci se tiendra au Caveau de la République (1, bd Saint-Martin, métro République), le samedi 6 février à partir de midi. Des malicieux ont observé que le « Caveau » de la République, un « 6 février », date de funeste mémoire (la manifestation antiparlementaire de 1934), ce n’est pas très républicain… Trêve de plaisanterie. Je me permets tout de même de souligner l’importance de ce rendez-vous.

« Pour Politis », créée en octobre 2006, pour recueillir la manne de nos lecteurs, a depuis lors de multiples activités. Il n’est pas inutile de le rappeler : « Pour Politis » est, en premier lieu, l’actionnaire principal de Politis SAS, dont elle détient 65 % du capital. À ce titre, le président de l’association siège au comité de direction de Politis SAS. Il est fondé à contrôler l’usage que nous faisons de l’argent collecté au cours de l’automne 2006. Si le président – aujourd’hui Jean-Paul Hébert – vous représente dans différentes réunions, l’AG de l’association est un moment de démocratie directe. Chacun d’entre vous pourra s’y informer directement auprès de la direction du journal. Comme chaque année, nous jouerons évidemment le jeu d’une totale transparence. Il y a la gestion et, indissociablement, la qualité du journal.

Il y a aussi nos projets et nos choix, dont nous vous entretiendrons. C’est un moment de démocratie auquel nous tenons beaucoup. Il est hélas souvent difficile d’expliquer ce que nous faisons, et pourquoi nous le faisons, en dehors de ce rendez-vous privilégié. Alors, profitons-en !

L’autre grande activité de « Pour Politis », c’est l’animation de stands dans des salons et diverses manifestations. Nous avons, cette année, battu des records en assurant la présence de Politis dans plus de soixante-dix salons. Autant dire qu’il nous faudra aborder le sujet. On ne saurait faire plus sans essoufflement, et sans dispersion d’une énergie (la nôtre et la vôtre) précieuse. Sans doute faut-il faire un peu moins sans sacrifier la visibilité de Politis dans des endroits « stratégiques ».

D’autres activités sont embryonnaires : l’organisation de débats ou l’accompagnement de débats de la rédaction. Est-ce trop ? Est-ce trop peu ? Ce sont aussi des discussions que nous devrons avoir le 6 février. Et, au-delà de nos ordres du jour, c’est toujours une occasion de se rencontrer, et d’échanger de vive voix. Alors, sans ignorer la rudesse des temps, et les problèmes que peut poser pour certains d’entre vous un déplacement de plus à Paris, je réitère notre invitation.

Amicalement,

Médias
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