L’indépendance et la liberté d’esprit ne se négocient pas

Christophe Alévêque  • 5 novembre 2015
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L’indépendance et la liberté d’esprit ne se négocient pas
© Photo : SAGET/AFP

Quand on en arrive à se poser la question de la vie ou de la mort d’un journal, cela ne veut pas dire que le journal se porte mal, mais que la société est malade. Et quel meilleur moyen pour la soigner qu’un canard comme Politis ?
Oui, la société est en pleine mutation, mais s’adapter ne veut pas dire céder et se mettre à genoux.

L’indépendance et la liberté d’esprit n’ont pas de prix, elles ne se négocient pas. À une époque où l’espace médiatique est atteint par le virus du suivisme, où de plus en plus de médias appartiennent à de moins en moins de monde, la morne et désertique pensée unique nous guette. Elle peut faire des dégâts irréversibles, elle a déjà commencé. Mais il n’est pas trop tard. Alors, un peu d’air frais, un autre point de vue, et beaucoup de Politis ! 

Illustration - L’indépendance et la liberté d’esprit ne se négocient pas

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