Leyla McCalla, sons-mêlés

A Day for The Hunter, A Day for The Prey, un album entre jazz cajun et tradition haïtienne.

Lorraine Soliman  • 6 avril 2016 abonné·es
Leyla McCalla, sons-mêlés
© Sarrah Danziger

Son premier disque, Vari-Colored Songs : A Tribute to Langston Hughes (2014), brillait par son intelligence musicienne et sa conscience socio-politique. Leyla McCalla entrait directement dans la cour des grands. À tout juste 30 ans, elle s’y enracine sans perdre une once de fraîcheur.

A Day for The Hunter, A Day for The Prey (proverbe haïtien signifiant « Un jour pour le chasseur, un jour pour la proie »), inspiré d’un passionnant ouvrage éponyme de l’ethnomusicologue Gage Averill sur les conflits

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Musique
Temps de lecture : 2 minutes