Vaches enragées pour la Conf’
Écologie
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Le syndicat paysan est poursuivi en justice pour sa lutte contre le projet de ferme-usine de la Somme.
Écologie
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Le syndicat paysan est poursuivi en justice pour sa lutte contre le projet de ferme-usine de la Somme.
Deux paysans de la Drôme ont été sanctionnés pour avoir refusé l’obligation de l’identification électronique de leur troupeau.
Plus de paysans, c’est aussi plus d’habitants, donc plus de services publics et marchands, plus d’activités.
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Ces dix dernières années, les troubles de santé d’une cinquantaine d’agriculteurs ont été reconnus comme maladies professionnelles liées à une exposition à des pesticides, essentiellement des cancers et la maladie de Parkinson.
L’exposition aux pesticides a pu provoquer de nombreux cas de maladies chroniques chez les agriculteurs. Après des décennies d’omertà, les victimes commencent à obtenir réparation auprès des tribunaux.
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Sur la côte Vermeille, une quinzaine de vignerons tentent de promouvoir les alternatives aux intrants. Pas facile…
André Trémolières, éleveur de brebis à la retraite, à Curlande, dans l’Aveyron, fait le point sur les pratiques.
Membre du Plan national santé environnement, Charles Sultan dénonce depuis de nombreuses années l’utilisation des pesticides.
À Drucat, dans la Somme, déboutés de leur action contre la construction de la plus grosse ferme laitière de France, les opposants comptent bien entraver le lancement de sa production, prévu dès juillet.
La loi « d’avenir » de Stéphane Le Foll affiche une volonté d’aller vers moins d’industriel mais sans s’en donner les moyens.
Des pesticides hautement toxiques sont utilisés en France alors qu’ils sont interdits, parfois de longue date.
Un imbroglio juridico-administratif et une réglementation européenne pourraient interdire l’utilisation par les éleveurs de leurs propres herbes médicinales pour la santé de leurs troupeaux.
De plus en plus de municipalités tentent de maintenir les paysans proches des agglomérations, pour améliorer l’alimentation, favoriser l’emploi local et limiter le bétonnage. Un enjeu électoral.
Pour Marie-Noëlle Orain, le projet de Stéphane Le Foll corrige quelques dérives mais ne permettra pas le tournant agroécologique annoncé.
Des circuits courts de financement participatif se développent pour favoriser l’installation et le maintien d’exploitants désireux de tourner le dos au modèle productiviste.
Une ferme aux 1 000 vaches, un poulailler avec 300 000 poules, 4 500 cochons dans une même porcherie : plusieurs organisations alertent sur l’industrialisation tous azimuts des élevages.