Alex Barbier bande flou
Le pape de la bande dessinée fait des adieux à son art, lieu d’encres rugissantes et de fantasmes en clair-obscur. Dernière visite dans son « casino » intime, refuge de sa mémoire palpitante.
Le pape de la bande dessinée fait des adieux à son art, lieu d’encres rugissantes et de fantasmes en clair-obscur. Dernière visite dans son « casino » intime, refuge de sa mémoire palpitante.
Culture
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Avec Panthère, le très jeune, très doué et déjà très reconnu Brecht Evens a trouvé une sincérité belle comme son dessin. Un tournant pour lui, une merveille pour nous.
Culture
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On ne fait pas exactement que manger, dans les dessins du dernier ouvrage de Lécroart, on s’y moque joyeusement de nos conventions gastronomiques.
Culture
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Dans la Couleur de l’air, Enki Bilal rêve d’une planète qui reprend le pouvoir pour digérer les horreurs du XXe siècle. Et repartir à neuf.
Le deuxième album de Claire Braud nous embarque dans la vie gesticulante et drolatique d’Alma. De délicieuses retrouvailles.
Surréaliste et vache, Brecht Vandenbroucke concentre ses tirs sur le « White Cube », cet accessoire convenu des expositions chics.
Héros chinois des années 1940, San Mao incarne les gamins des rues du monde entier.
Pour sa première œuvre en couleur, Ludovic Debeurme embarque trois fils
et un père dans un récit cruel et merveilleux.
Rentrer de vacances, partir en exil ou dans les étoiles. Trois albums aériens par des auteurs d’ici et d’ailleurs.
Entre ville et campagne, Lénon partage ses trouvailles avec drôlerie et talent.
Depuis 2010, des auteurs de BD indépendante revisitent le genre pornographique sous la houlette des Requins marteaux. Avec Q, septième volume de « BD CUL », le plaisir culmine.
Avec la Nuit du capricorne , le jeune auteur Grégoire Carlé donne corps aux frémissements d’une enfance en voie d’achèvement.
Avec Johnnychrist , Aurélie William Levaux et Moolinex, artistes undergound, ont connu la visitation.
Poulet peau nue et nounours amoché : Ted Stearn fait des rebuts de notre société des héros déjantés.
Pour sa quarantième édition, entre gros sous et inquiétudes, le Festival international d’Angoulême présente de superbes albums.