« Génération.s » : Hamon opte pour la politique inclusive
Après son faux départ du 1er juillet dernier, la formation de l'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé son nouveau nom, et s'est positionnée en mouvement rassembleur à gauche.
Après son faux départ du 1er juillet dernier, la formation de l'ex-candidat socialiste à la présidentielle a annoncé son nouveau nom, et s'est positionnée en mouvement rassembleur à gauche.
Après le big-bang de la présidentielle, la reconstruction a commencé. Retour sur les questions et les enjeux qui occupent les quatre forces principales à gauche.
Denis Sieffert analyse l'état de la gauche et son avenir.
Les multiples consultations auxquelles sont aujourd’hui invités les sympathisants de gauche révèlent le profond désarroi des états-majors des partis.
Tous les partis de gauche veulent porter la voix des classes populaires. Mais ce regain d’intérêt pour les Français les plus modestes peine à dépasser les bonnes intentions.
Quasi unanimes à demander une médiation entre l’Espagne et la Catalogne, les partis de gauche diffèrent dans leur approche du mouvement indépendantiste.
Les états-majors communiste et écologiste, mais aussi les syndicats, rechignent à défiler lors de la manifestation contre « le coup d’État social » organisée samedi 23 septembre à l’initiative de la France insoumise.
Après une difficile campagne mais libéré du PS, Benoît Hamon revient pour Politis sur les raisons de sa décision de quitter le parti, ses projets et sa vision d’avenir pour la gauche.
A l’occasion de la journée de lancement de son « mouvement du 1er juillet », l'ancien candidat à la présidentielle a annoncé son départ du Parti socialiste.
Denis Sieffert tire le bilan de la séquence électorale pour la gauche dans sa pluralité.
L’ancien candidat du PS à la présidentielle est venu soutenir son ex-collègue écolo du gouvernement Ayrault sur sa circonscription. Les deux candidats s’affichent ensemble dans une opposition claire au gouvernement, esquissant un avenir partagé.
Sur fond de divergences stratégiques, les gauches ne parviennent pas à s’entendre sur des candidatures communes. Coup de projecteur dans cinq circonscriptions françaises.
Le candidat socialiste, qui a reçu moins de 7 % des voix, a appelé ses électeurs à faire barrage au FN.
Si Emmanuel Macron et Marine Le Pen sont qualifiés pour le second tour, c’est à gauche que le plus grand bouleversement est prévisible, avec le très bon score du leader de la France insoumise.
L'attentat qui a coûté la vie à un policier a eu lieu alors que les candidats se succédaient à l'émission « 15 minutes pour convaincre ».
Même s’ils savent que le candidat socialiste n’a aucune chance d’accéder au second tour, ces électeurs ont décidé de voter pour lui. Et tant pis si cela fait perdre Mélenchon.
Le collectif de chercheurs « hétérodoxes » publie deux notes analysant les propositions des candidats dans leur domaine. Rompre avec l’austérité constitue selon lui « un prérequis » pour amorcer la transition écologique.