Ne pas nous prendre pour des Américain(e)s
Chez nous, Buddy, on laisserait personne nous fourguer de la loi d’exception par paquets de douze.
Chez nous, Buddy, on laisserait personne nous fourguer de la loi d’exception par paquets de douze.
Ce qui était odieux au P « S » quand l’autre droite était au pouvoir lui devient délicieux quand il est aux affaires.
Ce n’est que tout récemment – et FOG le sait bien – que le FN a décoré sa vitrine d’un discours socialisant.
Cette ahurissante suggestion n’a pas été faite par un révisionniste patenté mais par Benyamin Netanyahou.
Avant le tournant de la « rigueur », le Front national était un tout petit particule d’extrême droite…
Il est où, l’ombrageux humaniste du Quai d’Orsay, quand M. Hollande se précipite à Riyad ?
Pour Jacques le défiltré, M. Finkielkraut et ses coturnes sont victimes d’une « chasse à l’homme. »
Selon Joseph Macé-Scaron, de méchantes gens sont parties à la chasse au Onfray.
Des complicités ont permis au parti de la Pen de socler dans l’époque la « dénonciation de l’immigration ».
Avant le petit Aylan, des milliers d’autres fugitifs ont péri sans que leur accueil soit érigé en urgence.
M. Macron n’est pas du genre à se laisser emmerder par les vieux tabous protecteuristes.
T’es un salarié de la SNCF, tu croises un taré lesté d’une kalachnikov, tu fais quoi ?
Le Monde se livrerait presque à une gymnastique inspirée de celle qui faisait le charme de la Pravda.
Tu croises un mec en djellaba ? Un ado en mollets ? Fuis de toutes tes jambes : c’est des daechistes.
Nous, Gaston, nous allons résister à la zemmourisation de l’époque, où le bouc émissaire se débite par barquettes de vingt.
Pas une semaine ne s’écoule sans stigmatisation des muslims par les médias dominants.