Mélenchon retrouve l’usage du mot gauche
Après une année à s’installer en leader de l’opposition, La France insoumise délaisse le populisme et savoure les « vents favorables ».
Après une année à s’installer en leader de l’opposition, La France insoumise délaisse le populisme et savoure les « vents favorables ».
À l’université d’été des mouvements sociaux, impulsée par Attac, des ateliers ont montré comment la philosophie des communs prend sa place dans les revendications démocratiques. Reportage.
L’événement réunit près de 300 organisations pour cinq jours de débats et de formations, à l’invitation d’Attac, du Crid et du réseau Ritimo.
Monde
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La gauche a réalisé son meilleur score à une présidentielle colombienne. Un acquis à défendre pour la députée María José Pizarro, alors que la droite attaque l’accord de paix avec les Farc. Entretien.
Réunis en congrès ce week-end, le parti fondé par Jean-Luc Mélenchon ne veut plus appartenir au même parti européen qu’Alexis Tsipras, devenu le représentant de la ligne austéritaire en Grèce.
Il y a un an, Benoît Hamon lançait son mouvement. Dans les comités, on prépare le premier congrès, prévu pour fin juin.
À un an des élections européennes, les partis du camp progressiste français dressent un diagnostic sévère sur l’état de l’Union. Mais leurs stratégies sont encore floues et les remèdes disparates.
L'alliance entre syndicats, associations et politiques pour appeler à manifester contre la politique de Macron demeure fragile.
Le parti trotskiste a confirmé sa présence dans les cortèges de la « Marée populaire » sans pour autant signer l'appel commun de la cinquantaine d'organisations qui en sont à l'initiative.
Près de 50 organisations syndicales, associatives et politiques appellent à une « marée populaire » le samedi 26 mai « pour légalité, la justice sociale et la solidarité ».
Plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient présentes à l'appel de François Ruffin. Une ambiance bon enfant qui laisse augurer un mois de mai riche en mobilisations.
À l’initiative de François Ruffin, des dizaines de milliers de manifestants ont défilés à Paris à l’occasion du premier anniversaire de l’élection du chef de l’État. Si les slogans étaient multiples, tous avaient la même cible.
Durement défaits en 2017, les partis de gauche restent convalescents mais s’accordent, avec des stratégies diverses, sur un ennemi commun : Macron.
Les groupes de la gauche rassemblée à l’appel d’Olivier Besancenot ont tenu un meeting commun à la veille du 1er Mai à Paris. Mais leurs rangs sont déjà clairsemés.
Guilherme Boulos est candidat à la présidentielle brésilienne. Il suscite un espoir dans le contexte de régression sociale que connaît son pays.
François Ralle-Andreoli fait une nouvelle fois appel aux suffrages des Français de l’étranger, dimanche prochain. Signe particulier : il est soutenu par tous les partis à gauche.
Douze organisations politiques de gauche s’affichent unies contre la politique d’Emmanuel Macron et en soutien aux cheminots grévistes.
Avec la très large élection d’Olivier Faure à la tête du parti, l’aile gauche du parti subit un échec cuisant. Et finit plus marginale que jamais.