Une lutte en trompe-l’œil contre l’évasion fiscale
Le gouvernement crée les conditions d’un évitement fiscal par les gros fraudeurs.
Le gouvernement crée les conditions d’un évitement fiscal par les gros fraudeurs.
Le message sur la veste de Melania Trump n’est pas un dérapage, mais le cœur d’une idéologie.
Entre fraude et niches, on parvient à environ 300 milliards d’euros d’aides aux plus riches.
Plus d’un tiers de la richesse produite en France (son PIB) l’est par le secteur non-marchand.
La reprise de la dette de la SNCF par l’État, l’incessibilité théorique des actifs de ses filiales et la transférabilité du statut des salariés en place sont de nature à attiser la colère des cheminots et des usagers.
Marx est le premier analyste de la destruction par le capitalisme des « deux sources de la richesse : le travail et la terre ».
Pour les « non-talents », l’enseignement supérieur est inutile et coûteux.
Les projections des effectifs étudiants étaient connues de tous.
On ne peut pas résoudre la pénurie d’emplois en faisant l’impasse sur la dimension qualitative du travail.
La suppression de l’« exit tax » renforce le caractère injuste de la politique fiscale d’Emmanuel Macron.
L’intelligence humaine et sociale seraient des obstacles à la performance économique.
La concurrence est prônée plus comme une idéologie que comme un principe scientifique.
Il faut renoncer à l’idée que la productivité est toujours un progrès.