Syrie : Macron peine à démontrer l’efficacité des frappes
Le chef de l'État s’est même paradoxalement efforcé de minimiser l’impact de son action militaire.
Le chef de l'État s’est même paradoxalement efforcé de minimiser l’impact de son action militaire.
L’opération militaire sur la Syrie ressemble à une tentative désespérée de se réintroduire dans un conflit dont Washington, Paris et Londres ont été exclus.
Monde
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Depuis dimanche, Washington, Londres et Paris multiplient les déclarations menaçantes suite aux frappes chimiques du 7 avril.
Les habitants de la Ghouta comme les Kurdes de Syrie sont abandonnés à leur sort par les grandes puissances.
L'attaque par la Turquie des Kurdes d'Afrine pointe le cynisme des États-Unis, de la France, du Royaume-Uni, mais aussi de la Russie. Et montre la complexité du conflit.
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Dans la Ghouta orientale, les civils sont les premières victimes du régime d'Assad. Une trêve de cinq heures par jour entre en vigueur aujourd'hui.
Dans le conflit syrien, Israël ne perd donc pas de vue l’essentiel : la liquidation de la question palestinienne. On ne connaît pas encore les moyens, mais on n’en exclut aucun.
Denis Sieffert revient sur l'arrivée de l'État hébreu dans le chaos syrien et ce que cela entraîne dans toute la région.
La ministre de la Défense a utilisé une insupportable langue de bois au sujet des attaques au chlore par le régime de Bachar al-Assad.
Les Kurdes risquent d’être les cocus de l’histoire. Les États-Unis se sont appuyés sur eux pour vaincre Daech et pour pérenniser leur présence en Syrie. Mais, au-delà, ils laisseront les Turcs régler leurs comptes.
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Le huitième round de discussions s’est ouvert mardi à Genève, alors que Bachar Al-Assad a intensifié ces jours-ci ses bombardements sur la zone rebelle de la Ghouta.
Un rapport d’experts des Nations unies, publié jeudi, accuse de nouveau le dictateur de Damas d’avoir utilisé des armes chimiques sur Khan Cheikhoun, le 4 avril dernier.
Après la chute de Raqqa, l’attention se porte de nouveau sur la guerre civile syrienne.
La « nouvelle feuille de route » de Macron sur l’Europe oublie le social. Quant au discours sur la Syrie, il est de plus en plus ambigu.
Plus qu’une série d’espionnage, Le Bureau des légendes est une chambre d’écho des événements liés au terrorisme international, avec une volonté de crédibilité. Mais qu’en retient le spectateur ?
Dans une interview au Figaro, le président russe s'est dit persuadé de l'innocence du régime syrien dans l'attaque meurtrière du 4 avril à Khan Cheikhoun.