Coup de force ou coup de bluff islamiste ?
Dans un communiqué, un rassemblement de factions islamistes dit vouloir prendre ses distances avec le Conseil national syrien.
Dans un communiqué, un rassemblement de factions islamistes dit vouloir prendre ses distances avec le Conseil national syrien.
L’interdiction des armes chimiques ne doit pas favoriser l’intensification des bombardements sur la population.
Extraits d’un texte de Gilbert Achcar paru le 31 août sur le site Open Democracy. Il propose l’une des meilleures analyses lues sur le sujet.
Que pensent les Français d’une intervention militaire en Syrie ? Propos recueillis dans les quartiers populaires de l’Est parisien.
Le directeur de l’Iris, Pascal Boniface, met en garde contre une intervention directe qui aurait des conséquences durables sur l’ONU et plaide pour un armement des rebelles afin de forcer Bachar al-Assad à négocier.
Édito vidéo : «Les incertitudes du lendemain doivent-elles justifier un soutien même honteux au régime syrien ? Et l’acceptation de ses crimes de masse ?»
Front de gauche d’un côté, écologistes et NPA de l’autre, des analyses plus que différentes.
Après la bataille de Qussayr, remportée par le régime grâce à l’aide du Hezbollah libanais, le crescendo dans la violence révèle davantage la faiblesse du pouvoir que sa supériorité militaire face à une rébellion qui ne désarme pas.
L’économiste et historien libanais se défend d’avoir une analyse « favorable au régime syrien ».
«La Commission européenne ne nous dit pas seulement qu’il faut résorber le déficit, elle nous dit comment cela doit se faire, et aux dépens de qui.»
Georges Corm propose une analyse favorable au régime syrien. Une pièce dans un dossier complexe.
Alors que l’offensive du régime s’intensifie sur le terrain, la communauté internationale continue de tergiverser.
La désinformation orchestrée par Damas s’appuie sur ces zones d’ombre pour renvoyer dos à dos la répression et la révolution. Mais rien de tout cela ne doit faire oublier le peuple syrien.
Le conspirationnisme et certaines analyses géostratégiques occultent les facteurs sociaux et humains du soulèvement.
L’essor des théories du complot sur Internet s’explique, selon le blogueur
Tristan Mendès-France, par une méconnaissance de cet outil par les utilisateurs.
Monde
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Après deux ans de conflit et soixante mille morts, la seule question qui vaille est celle de savoir comment hâter la chute du clan Assad. Par Farouk Mardam-Bey.