Nicolas Lebourg : « L’extrême droite progresse sur la décomposition des offres politiques »
L’historien Nicolas Lebourg analyse la montée en puissance des crispations identitaires. À droite mais aussi au sein d’une certaine gauche.
L’historien Nicolas Lebourg analyse la montée en puissance des crispations identitaires. À droite mais aussi au sein d’une certaine gauche.
Médias
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Pascal Praud ne s'intéresse aux agressions racistes que lorsque les agresseurs sont… « maghrébins ».
Culture
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À l’abordage, de Guillaume Brac, subtil portrait de la jeunesse.
Avec Vivre dans l’Allemagne en guerre, Jérôme Prieur rend à ce passé toute l’épaisseur de sa tragique complexité.
Billets
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L'affaire Pierre Ménès, c’était en 2012 et en 2016 : une ère lointaine. Presque un autre siècle où personne n’y voyait le mal.
Culture
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La cérémonie des Césars fut laborieuse et politique, avec quelques satisfactions.
Culture
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Arte lance En thérapie, une série dirigée par Olivier Nakache et Éric Toledano. Où l’on suit des séances d’analyse dans un cabinet de psy au lendemain des attentats de novembre 2015. Une réussite.
Médias
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Pour les élu·es et personnalités de gauche, le rapport à ces chaînes a tout du dilemme : les boycotter et laisser l’extrême droite parler seule, ou y aller et risquer le traquenard.
L’automne 2020 a marqué l’apogée d’une extrême-droitisation entamée depuis des années dans les médias. En la matière, certaines chaînes d’information en continu sont à l’avant-garde.
Médias
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Racisme, sexisme, islamophobie s’étalent chaque jour sur CNews ou LCI. En coulisses et sur le terrain, des professionnels souvent précaires doivent encaisser sans broncher.
Médias
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Pour Arnaud Mercier, l’extrême-droitisation des chaînes d’info relève d’une intention éditoriale et consacre une rupture du cahier des charges.
Culture
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Dans Petite Fille, Sébastien Lifshitz dresse le portrait de Sasha, née dans un corps de garçon, et de sa famille, en butte à la non-reconnaissance sociale de son identité. Un film délicat et émouvant.
Culture
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Guillaume Meurice et Émilie Valentin retracent l’histoire du Café de la Gare. Entre archives et témoignages jubilatoires.
Sur les plateaux, il n’y a personne pour contredire ces pitres proférant qu’un libelle raciste n’est pas raciste.