Ne transitons pas, désindustrialisons !
Il faut une transformation radicale de l’organisation productive.
Il faut une transformation radicale de l’organisation productive.
Les dettes sont en majorité le résultat d’une baisse colossale des impôts des riches.
On ne bascule pas dans le capitalisme numérique, on s’enfonce dans le capitalisme tout court.
Une condition incontournable et trop souvent oubliée : la réduction de la taille des organisations productives.
Impossible d’imaginer la puissance des multinationales sans le numérique.
Les baisses de consommation ne doivent pas être annulées par l’effet rebond propre au capitalisme.
La source de l’aliénation est dans les rapports de production réels et non pas dans la propriété des moyens de production.
Les résultats sont souvent anecdotiques, voire confirment des lieux communs.
Le libre-échange implique une déconnexion entre la valeur économique et les valeurs humaines : le bien-vivre des travailleurs, l’écologie et la qualité.
L’augmentation du « niveau de vie » est l’autre nom de l’augmentation de la contrainte dans les choix de consommation.
Pour le Premier ministre, une société libre est une société qui garantit avant toutes choses la liberté économique.