Prisons : Rétention de formation
Alors que la loi pénitentiaire énonce le droit d’une « activité » pour les détenus, l’apprentissage professionnel piétine.
Lors de l’inauguration du centre pénitentiaire du Havre en août 2010, Michèle Alliot-Marie, alors garde des Sceaux, faisait de celui-ci un « modèle de modernité ». Mais ses 690 places, ses 32 000 m2 et ses quatre unités de vie familiale masquent difficilement le manque de locaux destinés aux ateliers des détenus. Des salles de classe adaptées aux formations
Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
Pour aller plus loin…

Libertés publiques • 8 février 2023 abonné·es
Vidéosurveillance : comment Brest a dû capituler
Quinze caméras de voie publique seront expérimentées dans la ville bretonne. Maire depuis 2001, le socialiste François Cuillandre avait toujours refusé d’en installer. Un cas emblématique des pressions exercées par l’État sur les communes pour qu’elles s’équipent de ces outils à l’utilité débattue.
Par Romain Haillard

Forces de l'ordre • 6 février 2023
Maintien de l’ordre à Paris : Nuñez dans les pas de Lallement
Avec le changement de tête en juillet 2022 à la préfecture de police de Paris – Laurent Nuñez remplaçant Didier Lallement –, beaucoup espéraient un changement de doctrine de maintien de l’ordre à Paris. Mais cette dernière a-t-elle réellement évolué ? Réponse : non.
Par Maxime Sirvins

Analyse • 1 février 2023 abonné·es
Préfets, les jouets de Macron
Ces serviteurs de l’État ont bénéficié d’un élan centralisateur à la faveur des dernières réformes. Mais au prix d’une rude mise au pas. Fliqués par le pouvoir central, ils perdent de vue leur rôle constitutionnel de contrôle de légalité.
Par Nadia Sweeny

Revue d'effectif • 1 février 2023 abonné·es
« Puissants », « problématiques » : 10 préfets à la loupe
De Didier Lallement à Marc Guillaume, en passant par Régine Engström, revue d’effectif de dix hauts fonctionnaires, bons soldats de la Macronie.
Par Nadia Sweeny