Accords commerciaux : « On ne pourra plus revenir en arrière »
L’Europe vient de conclure un accord de libre-échange avec le Japon et s’apprête à en signer un autre en Amérique latine. Un risque majeur pour l’environnement, selon Samuel Leré.
L’Europe vient de conclure un accord de libre-échange avec le Japon et s’apprête à en signer un autre en Amérique latine. Un risque majeur pour l’environnement, selon Samuel Leré.
Cet accord de libre-échange favoriserait les cultures OGM et la déforestation.
Présentant aujourd’hui son plan « pour la mise en œuvre » de ce traité de libre-échange, le gouvernement souhaite le mettre « sous surveillance », mais n'envisage pas de le renégocier.
L’accord liant l’Europe et le Canada entre en application. Il ouvre la voie à des dizaines d’autres, notamment avec le Japon et l’Afrique. Objectif : sceller l’emprise des multinationales.
Les trois groupes parlementaires de gauche demandent d’une seule et même voix un référendum d’initiative partagée sur l’accord de libre-échange Ceta, qui s’appliquera dès jeudi 21 septembre.
Le gouvernement ne renégociera pas le vaste accord de libre-échange entre l’Europe et le Canada, vigoureusement critiqué par des experts nommés par Emmanuel Macron. Les ONG se disent déçues.
Le traité de libre-échange, qui doit entrer en application provisoire le 21 septembre, « devrait être légèrement défavorable » au climat, estiment les experts nommés en juillet par le gouvernement français.
La légalité du traité de libre-échange avec le Canada est mise en cause, notamment sur la question des tribunaux arbitraux.
La commission mise en place par Emmanuel Macron pour calmer la grogne contre le traité Europe-Canada est constituée essentiellement de défenseurs du libre-échange.
Une centaine de députés de gauche estiment que l’accord de libre-échange Europe-Canada place les multinationales au-dessus des citoyens, des élus et des petites entreprises.
Juncker lui-même n’espère plus rien d’une Europe divisée qui, dit-il, sera incapable de proposer une réponse unie dans l’adversité. Bien vu ! Mais à qui la faute ?
Denis Sieffert revient sur l'annonce par président de la Commission européenne qu'il ne se représenterait pas en 2019 et sur la catastrophe qu'est l'Union européenne actuelle.
L’accord de libre-échange entre l’Europe et le Canada devrait être voté sans accrocs mercredi au Parlement européen. Mais la guerre contre ce traité n’est pas perdue, selon ses opposants.
Les négociateurs du « Tisa » ont annoncé le report de l’ultime round de négociation.
Loin d’être isolés, les Wallons sont en première ligne d’une opposition au libre-échange qui parvient à mobiliser jusque dans les rangs de la droite.
Les Wallons continuent d’exiger du temps pour respecter le « processus démocratique ». L'ultimatum fixé par le Conseil européen pour changer sa position arrive à échéance ce vendredi.