Présidentielle : L’union de la gauche à l’heure des bras de fer
À l'approche de 2022, les appels se multiplient, les obstacles aussi.
À l'approche de 2022, les appels se multiplient, les obstacles aussi.
Ancien ministre socialiste devenu frondeur, puis candidat à la dernière présidentielle en concurrence avec Jean-Luc Mélenchon, Benoît Hamon prône l’union la plus large possible à gauche en 2022, avec La France insoumise. Et avec la société civile.
Notre inquiétude ne vient pas tant d’un texte qui promet de régler leur compte aux « islamo-gauchistes », et aux « hordes de banlieues », que d’un climat général qui ne rend pas absurde l’hypothèse d’un mauvais coup.
Le député européen réclame un rassemblement des écologistes et de la gauche, obligeant les politiques à se positionner.
Après quatre mois de silence depuis la déconvenue des européennes, Génération·s a fait sa rentrée en affichant sa volonté de servir au rassemblement des gauches.
Après l’échec des discussions avec d’autres mouvements de gauche et sur sa proposition de votation citoyenne, Benoît Hamon a présenté les trente premiers candidats de son mouvement pour les élections européennes du 26 mai.
À l’approche de l’échéance des européennes, et face à un Emmanuel Macron qui « scénarise » son opposition aux nationalistes, Benoît Hamon propose une « votation citoyenne » afin de créer une liste de la gauche rassemblée qui soit en adéquation avec le « moment » gilets jaunes.
La sénatrice du Val-de-Marne quitte le PS pour rejoindre le mouvement de Benoît Hamon, Génération.s. Elle nous explique ses raisons.
Le créateur de Génération.s veut s’imposer comme un anti-Macron. A l’occasion du discours de clôture de la convention de Génération.s, il a enjoint les députés à ne pas se rendre au Congrès de Versailles.
À l’occasion de sa première convention, le mouvement de BenoÎt Hamon a été à la rencontre de ses adhérents. Un répit bienvenu pour cette formation politique qui voit ses espoirs d’alliances avec les autres groupes de gauche compromis.
Près de 50 organisations syndicales, associatives et politiques appellent à une « marée populaire » le samedi 26 mai « pour légalité, la justice sociale et la solidarité ».
Plusieurs dizaines de milliers de personnes étaient présentes à l'appel de François Ruffin. Une ambiance bon enfant qui laisse augurer un mois de mai riche en mobilisations.
Douze organisations politiques de gauche s’affichent unies contre la politique d’Emmanuel Macron et en soutien aux cheminots grévistes.
Le NPA, la France insoumise, Génération.s ou encore Europe Écologie étaient présents aux abords des cortèges cet après-midi à Paris. Reportage.
Le premier tour de deux législatives partielles ont eu lieu dimanche dernier. Le mouvement d'Emmanuel Macron perd sensiblement du terrain depuis juin.
Benoît Hamon et Yanis Varoufakis se lancent ensemble dans la campagne des européennes de 2019. Jean-Luc Mélenchon, lui, prépare un autre rassemblement transnational.
Samedi dernier, au Mans (Sarthe), Benoît Hamon a annoncé le nouveau nom de sa formation, Génération.s, qui a adopté une charte pour définir son identité politique : écologiste, plurielle, démocratique, et fédéraliste sur le plan européen.