Président des riches, plus que jamais
Inflexible avec les cheminots, sourd aux projets alternatifs de Notre-Dame-des-Landes, cassant à l’égard des étudiants, il s’est montré magnanime avec les grands délinquants de l’évasion fiscale.
Inflexible avec les cheminots, sourd aux projets alternatifs de Notre-Dame-des-Landes, cassant à l’égard des étudiants, il s’est montré magnanime avec les grands délinquants de l’évasion fiscale.
Les mots disent « dialogue », « concertation ». Les faits, eux, témoignent de la brutalité de l’État envers les étudiants, les zadistes, les cheminots, les demandeurs d’asile.
Aurel
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Retrouvez chaque semaine le dessin d'Aurel paru dans Politis, accompagné du dessin finaliste non publié.
DÉSINTOX. Emmanuel Macron vante un investissement de 35 milliards d’euros sur dix ans pour tenter d’apaiser la colère des cheminots. La réalité est plus complexe.
En cherchant à déminer les risques de convergence des « colères » qui colorent la tension sociale, le chef de l'État a justifié sa politique par un discours libéral souvent repris du... vieux monde.
Le chef de l'État s’est même paradoxalement efforcé de minimiser l’impact de son action militaire.
Le chef de l’État s’est livré face à Jean-Pierre Pernaut à un exercice de pédagogie convenu destiné à rassurer l’électorat des campagnes et les retraités qui s’estiment oubliés.
Alors que la grève intermittente s’installe à la SNCF et que s’étendent d’autres conflits, émerge la question centrale du sens du travail, écrasé par un management absurde et l’obsession du rendement.
La question est de savoir si, dans un second temps, le blocage ne sera pas imputé à un gouvernement qui a ouvert les hostilités, et qui traite ses interlocuteurs avec un insondable mépris.
Retrouvez chaque semaine le dessin d'Aurel paru dans Politis, accompagné du dessin finaliste non publié.
À Propos
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L'apparente générosité d'Emmanuel Macron est d'un incroyable cynisme.
Le projet d’Emmanuel Macron est dépolitisé à l’extrême. Il veut gouverner la France comme on manage une entreprise.
Tribunes
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Dans cette « lettre ouverte au président Emmanuel Macron », Tina Ngal livre ce qu'elle appelle « un regard des francophones impliqués » et « une pensée de la rive gauche du bassin du Congo », d'où elle est originaire.
Qu’il s’agisse de vendre des armes ou de mener à son terme le bris d’un service public, une même logique est à l’œuvre.
S’il existe un reproche à adresser aux médias dominants, c’est l’hégémonie de la pensée néolibérale, et ce n’est pas Macron qui le formulera.
Denis Sieffert revient sur le projet d'Emmanuel Macron de légiférer sur les fake news.
C’est le grand défi des syndicats que de montrer dans quelle sorte de changement veut nous entraîner Emmanuel Macron.
Aurel
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Retrouvez chaque semaine le dessin d'Aurel paru dans Politis.