À propos de « violence politique et sociale »
La démocratie, déjà abîmée, a été plus profondément encore dégradée par Emmanuel Macron.
La démocratie, déjà abîmée, a été plus profondément encore dégradée par Emmanuel Macron.
Quand Franz-Olivier Giesbert compare « Daech et la CGT », ce n’est pas, selon ses pair·es, du militantisme.
Dans le même temps qu’il milite ainsi pour la pudeur des collégien·nes, l’essayiste donne son avis sur l’« affaire Polanski ».
Yves Cochet se vautre dans une délectation funeste et des exhortations au repli fataliste.
Puisque nous parlons de déontologie, je vais vous soumettre les cas de MM. Ferrand et Delevoye.
À propos du dernier film de Polanski, les élèves seront invités à débattre sur le thème : « Déni de justice et sentiment d’injustice ».
J’espère qu’il va nous dire si son journal est gavé d’euros par le département dont il ovationne la présidente.
Les proférations du général Georgelin sont tout à fait dans le ton d’un quinquennat où « le respect » est foulé aux pieds.
Cette marche contre l’islamophobie était belle et revigorante. Et, petit plaisir supplémentaire, le parti « socialiste » n’y était pas.
En accordant un entretien à Valeurs actuelles, Emmanuel Macron banalise la haine.
Le directeur de la rédaction du JDD veut suggérer que « l’islam » serait infiniment plus anxiogène que la casse des services publics.
Si les SS peuvent être comparés aux mères voilées, alors ils ne sont plus des criminels contre l’humanité.
Si « on » ne croit plus l’équipe gouvernementale, ce n’est pas par scepticisme pathologique.
Emmanuel Macron a promis d’œuvrer à l’application du principe pollueur-payeur. Justement, Lubrizol appartient à Warren Buffett…
Qu’est-ce que cet art de vivre européen ? Notre propension à perpétrer des génocides ?
Le Monde préfère morigéner les Brexiters, comme il l’avait fait des Français·es qui avaient voté contre le TCE en 2005.