L’éditrice Catherine Flohic a demandé à des écrivains ayant vécu Mai 68 de revenir sur l’événement pour tenter d’en discerner les répercussions sur l’univers littéraire. Résultat : un livre collectif passionnant.

Le Club des 13, composé de professionnels du grand écran, vient de rendre public un rapport initié par Pascale Ferran, qui formule douze propositions pour lutter contre la disparition progressive du cinéma d’auteur.

Quinzième film de Robert Guédiguian, « Lady Jane » est un polar impressionnant d’une noirceur radicale, où le thème de la vengeance
est emblématique d’un monde en perte de sens et d’humanité.

Dans « le Premier Venu », Jacques Doillon met en scène une histoire d’amour imprévisible, avec un sens du mouvement qui tient de l’art de la guerre.

En Chine, où l’on ne plaisante guère avec la tradition des pleureuses, Liu Bingjian fricote avec l’immoralité.

Essayiste et traducteur israélien, Amotz Giladi* regrette que le Salon du livre de Paris n’ait invité que des auteurs israéliens écrivant en hébreu. Décision qui enferme Israël dans une image monolingue et monoculturelle.

Le directeur de La Fabrique, éditeur de nombreux écrivains israéliens s'opposant à la politique d'Israël en Palestine, invite au discernement dans l'appel au boycott.

« Dans la vie », de Philippe Faucon, raconte avec sensibilité l’histoire d’une amitié naissante entre deux vieilles femmes, l’une juive, l’autre musulmane.

L’exposition « Les Inquiets », au centre Pompidou, réunit cinq artistes
du Proche-Orient qui font entrer l’histoire, c’est-à-dire la violence et la guerre, dans leurs œuvres.

Plusieurs structures publient un appel pour la défense de la diversité artistique et culturelle.