Les tristes paris de M. Macron
Il n’est aucunement responsable des paris qu’il est seul à faire mais dans lesquels il nous engage tou·tes.
Il n’est aucunement responsable des paris qu’il est seul à faire mais dans lesquels il nous engage tou·tes.
Son ministre de l’Intérieur, M. Darmanin, trouve Marine Le Pen trop peu altérophobe.
Les juges trouvent à Zemmour la circonstance atténuante que ses propos ont été prononcés dans un « contexte ».
Quand Macron a supprimé l’ISF, il ne s’est pas soucié de l’« acceptabilité » de cette mesure.
Michel Guerrin ne commet pas l’idiote erreur d’attribuer d’abord cette persistance des tensions raciales aux racistes.
Franz-Olivier Giesbert assimile très tranquillement SUD et la CGT aux « sinistres collabos de Je suis partout »
Donald J. Trump n’a pas seulement été un (autre) président des riches : il a également excité ses fan-clubs d’extrême droite.
Ils ne tolèrent pas qu’on verse quelques euros à une chômeuse mais trouvent normal que l’État distribue des centaines de millions à un industriel.
En France des Lumières, contrairement aux États-Unis, le Président ne ment jamais, il compose.
« Les Français réclament de l’autorité », ça tombe bien, le général Pierre de Villiers en a à revendre.
La règle universelle de la responsabilité individuelle n’est pas si intangible que ne le suggèrent ses champion·nes.
Le site gouvernemental consacré à l’éducation à l’information est un peu incomplet…