Les rêves les plus fous de l’extrême droite
Les journalistes pourront désormais « être interpellés en couvrant des manifs ».
Les journalistes pourront désormais « être interpellés en couvrant des manifs ».
Ce président et son second n’ont en réalité aucune intention d’assurer dans cette crise notre sécurité.
Sur les plateaux, il n’y a personne pour contredire ces pitres proférant qu’un libelle raciste n’est pas raciste.
Des indécis·es acceptent depuis des années de danser avec des brutes, et tout d’un coup s’avisent que la musique est vraiment à gerber.
La fustigation des « sauvageons » est un classique de la réaction. Ici, elle dissimule une menterie supplémentaire.
La « question animale » est absolument essentielle au plein accomplissement de notre humanité.
La plume de James Lee Burke sait, en peu de mots, suggérer des mondes.
Lovecraft fut aussi, et tout au long de sa vie, un raciste fanatique – et cette abjection trouve dans le trumpisme quelques réduplications.
M. Valls va brailler dans un hebdomadaire d’extrême droite que les antiracistes sont des semeurs de « guerre entre “races” ».
« Ouiiiii, on a un peu exterminé, mais n’a-t-on pas aussi construit des routes ? » braillent les descendants des maîtres.
De la difficulté à changer son point de vue sans passer pour un opportuniste visqueux.