« Quelque chose de commun et de vital»
Les États généraux de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle se déroulent les 8 et 9 janvier à Paris. Catherine Bailhache* en expose ici la genèse et les objectifs.
Les États généraux de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle se déroulent les 8 et 9 janvier à Paris. Catherine Bailhache* en expose ici la genèse et les objectifs.
Dans son cinquième roman, « Paris-Brest », Tanguy Viel met en scène les travers d’une famille âpre au gain et sans scrupule. Dévastateur.
Une rétrospective Sabine Weiss livre
la tonalité et le parcours d’une artiste gouvernée par le sens de l’anecdote.
Avec « La Grande Magie », Laurent Laffargue réhabilite le génial Eduardo de Filippo.
Soumise à des impératifs d’abord pédagogiques, la littérature de jeunesse est un secteur en proie à des contraintes économiques, éditoriales et idéologiques qui restreignent la création.
Carlotta Films publie un nouveau coffret de quatre mélodrames de Douglas Sirk. Aux films splendides et corrosifs correspondent des suppléments stimulants.
Fabienne Carme puise dans les ouvrages du Moyen Âge pour en relater les mœurs culinaires, et nous propose quelques recettes. Remarquable, tout comme la réédition du livre de Jules Gouffé, publié en 1881.
Avec « les Plages d’Agnès », la cinéaste de 80 ans revient sur sa vie, plus jeune et libre que jamais. Un film enchanteur aux allures de fantaisie parfois mélancolique et souvent drolatique.
Les textes de Valère Novarina et d’Armando Llamas manifestent une grande liberté de langage. Deux pièces jouées actuellement, « Le Repas » et « No Way, Veronica », en témoignent.
La musique de Mercury Rev se remet en mouvement et retrouve grâce, mystère et inventivité.
Le Centre national de la danse consacre toute une saison aux différents visages de la danse noire. Une thématique aux enjeux identitaires, chorégraphiques et, forcément, sociopolitiques.
En solo, en trio ou en orchestre, plusieurs occasions de (re)découvrir Andy Emler.
Vingt-sept ans après sa sortie en salle, « Allemagne, mère blafarde », d’Helma Sanders Brahms, retrouve le grand écran. Un film noir qui dit la douleur d’une génération à vivre avec le passé proche.