François Chartier : « La transition écologique est créatrice d’emplois »
Relocalisations, restructurations industrielles, pôles publics… François Chartier détaille les pistes sociales-écologiques développées par le collectif Plus jamais ça.
Relocalisations, restructurations industrielles, pôles publics… François Chartier détaille les pistes sociales-écologiques développées par le collectif Plus jamais ça.
En s’emparant de la transition écologique, la CGT tente de moderniser son discours et force les écolos à rendre leur projet plus crédible aux yeux des travailleurs. Mais ce tournant ravive des dissensions internes au syndicat.
La digitalisation des sociétés construit un monde désincarné.
Face à la multiplication des crises écologique, économique mais aussi politique, un collectif d’associations et de syndicats choisit le thème de l’emploi pour faire entendre sa voix.
Le Green New Deal nécessite une intégration politique accrue.
Une centaine d’agents et cadres de la fonction publique publient une étude sur l’externalisation de l’action publique à des entreprises privées. Le coût de celle-ci est évalué à 160 milliards d’euros par an.
La mobilisation s’accroît de jour en jour contre la réforme de l’assurance-chômage qui doit faire payer un lourd tribut aux plus précaires, avec une idée maîtresse : forcer les chômeurs à accepter des boulots inacceptables.
Nombre de demandeurs d’emploi sont contraints de tourner le dos à leurs véritables projets professionnels, et la réforme ne fera qu’accentuer ce processus. Témoignages.
Laisser les banques créer de la monnaie, c’est ne pas contrôler les finalités des investissements.
Le système a pourtant joué son rôle de stabilisateur durant la crise sanitaire.
Le gouvernement va tenter de passer outre l’opposition unanime au projet « Hercule » de démantèlement d’EDF.
Il faut une transformation radicale de l’organisation productive.
[À l'écoute] Quel avenir pour les centres d’appels Free ? Incertain : des suppressions de postes et une restructuration massive se profilent.
2021 se profile comme une année charnière pour le groupe de Xavier Niel, avec une compression importante des effectifs dans les centres d’appels, dont l’avenir est désormais incertain.
L’opérateur déploie dans le quasi-secret des minicentres d’appels autonomes. Une révolution accueillie en interne comme les prémices d’un démantèlement des sites actuels. Une chute de 9 % des effectifs est prévue dès 2021.
Le site de Free dans les Hauts-de-Seine collectionne les irrégularités et sombre dans une ambiance délétère. Depuis que sa gestion a été confiée à un sous-traitant, les salariés craignent désormais d’être conduits vers la faillite.
Les multinationales cotées sont prisonnières de leur cours de Bourse et des marchés financiers.