Catherine Lépront, 161, rue du roman

Dans un essai et un roman paraissant conjointement, Catherine Lépront explore le processus créatif et s’émerveille de l’alchimie qui s’opère entre le réel et la fiction.

Ingrid Merckx  • 22 février 2007 abonné·es

Elle n'habite pas au 161. Elle y travaille. Réalisant divers tâches de rédaction et de traduction dans un studio que son voisin lui a prêté. Mais elle vit là, au sens où sa vie s'y déroule, à quelques mètres de l'appartement de cet homme qu'elle aime sans le dire. Collectionneur spécialiste de la statuaire sumérienne, Osias Lorentz recèle chez lui un trésor dont la concierge de l'immeuble, la Cap-Verdienne Anabella Santos Joao, mi-ange gardien, mi-démon, est la protectrice hors pair. Elle aussi aime Osias Lorentz en cachette. Lui, de son côté, aime une femme que ni l'une ni l'autre n'ont jamais vue et qu'il a un jour baptisée Esther avec la première, la narratrice.

Esther Mésopotamie. Un nom

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Culture
Temps de lecture : 4 minutes