Toute-puissance et impuissance du cinéma

Les États généraux du documentaire ont été l’occasion de réfléchir
au pouvoir du montage et des images, via les approches antinomiques de Michael Moore et du réalisateur israélien Ram Loevy.

Clotilde Monteiro  • 30 août 2007 abonné·es

À Lussas, en Ardèche, comme ailleurs cette année, le festivalier a les pieds dans l'eau. Le lundi 20 août au matin, à l'ouverture de la 19e édition des États généraux du film documentaire, outre l'humeur morose, l'inquiétude parcourt l'assistance à l'issue de la présentation, jugée trop partisane, du déroulé de l'atelier sur le montage, intitulé «~Coupez~!~». Sera-t-il à la hauteur du traditionnel et roboratif séminaire de réflexion sur le cinéma, proposé aux cinéphiles avides de se cultiver ?

La durée d'un plan, ses conséquences sur le sens donné à la narration et sur la place accordée au spectateur~: voilà l'une des directions retenues par la programmatrice Marie-Pierre Duhamel-Muller (par ailleurs directrice

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Culture
Temps de lecture : 4 minutes