Avec les « félicitations » du chanoine…
Article paru
dans l’hebdo N° 991 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 991 Acheter ce numéro
Chanoine honoraire de Saint-Jean-de-Latran depuis sa rencontre avec le pape Benoît XVI, le 20 décembre, Nicolas Sarkozy prend son rôle honorifique à coeur: il a fait parvenir un message de «félicitations» à quatre diacres catholiques traditionalistes qui y ont été ordonnés samedi par l’abbé Philippe Laguérie. Avant de réintégrer l’Église catholique à la tête de l’institut du Bon Pasteur, créé par Benoît XVI et installé à Bordeaux, ce dernier a été, de 1984 à 1997, le curé de choc de l’église Saint-Nicolas du Chardonnet, à Paris, occupée illégalement par des intégristes depuis 1977. Un modèle supérieur aux instituteurs ?
Temps de lecture : 1 minute
Pour aller plus loin…

Gauche • 23 juin 2025
abonné·es
Pour son premier congrès, « L’Après » d’Autain, Corbière, Simonnet et Garrido rêve encore d’union
Ces 21 et 22 juin à Paris, l’agrégat des « purgés » de La France insoumise s’est structuré pour plaider, en chœur, au rassemblement de toute la gauche et une candidature commune en 2027. Une petite respiration unitaire au milieu des guerres hégémoniques.
Par Lucas Sarafian

Parti Pris • 17 juin 2025
Réduire les dépenses, c’est renoncer à faire de la politique
Les politiques s’enchaînent et se ressemblent, focalisées sur la seule question comptable, budgétaire. Avec pour seule équation : réduire les dépenses. Mais faire de la politique, ça n’est pas ça.
Par Pierre Jacquemain

Politique • 16 juin 2025
abonné·es
À Nancy, les socialistes règlent encore leurs comptes sur le cas insoumis
Réunies pendant trois jours, les trois orientations du parti au poing et à la rose se sont déchirées sur la question de l’alliance avec La France insoumise. Le sujet, latent depuis 2022, n’est toujours pas réglé. Et le congrès de ce parti coupé en deux semble n’avoir servi à rien.
Par Lucas Sarafian

Politique • 13 juin 2025
Retraites : avant de censurer, les socialistes à la recherche éternelle de l’équilibre
Alors que le conclave touche à sa fin, les roses sortent peu à peu d’une logique de non-censure. François Bayrou se retrouve menacé mais les socialistes ne veulent surtout pas être perçus comme les agents du chaos politique.
Par Lucas Sarafian