Croire en quelqu’un

Dans « le Premier Venu », Jacques Doillon met en scène une histoire d’amour imprévisible, avec un sens du mouvement qui tient de l’art de la guerre.

Christophe Kantcheff  • 3 avril 2008 abonné·es

Jacques Doillon est un chorégraphe. Ses films sont pleins de paroles et de voix qui se répondent, mais ils seraient muets que le ballet des comédiens, les jeux de proximité et d'éloignement entre les corps y raconteraient des histoires semblables. C'est en tout cas à cet art du mouvement, à cette élégante fluidité de la mise en scène que l'on reconnaît, entre tous, le style du réalisateur de la Drôlesse .

Un art du mouvement qui, chez lui, est le contraire de l'agitation, aisément décriée chez Lelouch, mais

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Culture
Temps de lecture : 3 minutes