« Quelque chose de commun et de vital»
Les États généraux de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle se déroulent les 8 et 9 janvier à Paris. Catherine Bailhache* en expose ici la genèse et les objectifs.
dans l’hebdo N° 1034 Acheter ce numéro
Réunir les différents métiers du cinéma. Dufour/AFP
Depuis un an, il y a eu plusieurs mobilisations en faveur de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle. Quels en ont été les résultats ?
Catherine Bailhache : La première mobilisation a eu lieu en janvier 2008. Elle a été suivie en mars d’une intervention de Jeanne Moreau et de Mathieu Amalric lors de la remise des césars. En mai, nous avons tenu une conférence de presse à Cannes au cours de laquelle nous avons annoncé notre décision de pérenniser le Collectif. En juin, au sein du Collectif Sauvons la culture ! , dont nous sommes cofondateurs aux côtés de représentants d’un ensemble de secteurs culturels comme le théâtre, la danse, le cirque, la musique, nous avons coorganisé « le 21 juin, Boum ! » à l’appel des Têtes raides. Provoquée par l’annonce brutale d’une baisse très conséquente de certains des crédits
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