Un été en fanfare
Eyo’nlé, un brass band inclassable à découvrir de toute urgence sur les routes (f)estivalières…
dans l’hebdo N° 1362 Acheter ce numéro

Il existe deux sortes de pochettes d’album (CD) : celles que l’on regarde attentivement avant, et encore plus après avoir écouté la musique ; et les autres, qui affichent généralement un sourire béat et ne disent pas grand-chose sinon rien de l’objet sonore. Avec Empreinte du père, la fanfare Eyo’nlé – réjouissez-vous en yoruba – s’inscrit résolument dans la première catégorie. Assis sur un fil orné de fanions multicolores (« l’esprit guinguette »), les huit musiciens sont comme suspendus entre deux mondes : en arrière-plan, on devine la grande ville, Paris, et son icône métallique, fondue dans un décor de savane emprunté au Bénin, leur pays natal. Dessus-dessous, quelques palmiers à huile et nos musiciens pris en contre-plongée,
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