Contre Macron, immédiatement
Nous savons que M. Macron va exaspérer les choix sur lesquels prospère l’extrême droite.
L’on sait dorénavant, de façon tout à fait certaine, ce qu’a finalement été l’un des principaux legs des « socialistes » guillemeteux à la Ve République, depuis que l’un des leurs – M. Mitterrand – a pour la première fois été mis dans l’Élysée en 1981 : sous eux, sous le régime de leurs constants reniements et trahisons – sous cette « gauche » frelatée qui est si souvent allée infiniment plus loin que l’autre droite dans la démolition des garanties sociales –, le Front national vient de passer trois décennies et demie à se gagner dans les urnes toujours plus de succès toujours plus spectaculaires, pour finir dans l’apothéose de ses onze millions de voix du second tour de l’autre dimanche, dont je ne me suis, quant à moi, toujours pas remis, parce qu’à toi, je ne sais pas, mais à moi, ça me fait quand même un effet un peu dégueulasse de me dire qu’un(e) passant(e) sur quatre, dans nos rues et sentes vicinales, a voté pour la crasse.
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