Tout ça pour ça
Donald J. Trump n’a pas seulement été un (autre) président des riches : il a également excité ses fan-clubs d’extrême droite.
Donald J. Trump n’a pas seulement été un (autre) président des riches : il a également excité ses fan-clubs d’extrême droite.
Ils ne tolèrent pas qu’on verse quelques euros à une chômeuse mais trouvent normal que l’État distribue des centaines de millions à un industriel.
En France des Lumières, contrairement aux États-Unis, le Président ne ment jamais, il compose.
« Les Français réclament de l’autorité », ça tombe bien, le général Pierre de Villiers en a à revendre.
La règle universelle de la responsabilité individuelle n’est pas si intangible que ne le suggèrent ses champion·nes.
Le site gouvernemental consacré à l’éducation à l’information est un peu incomplet…
Retenons bien le nom de Martha Ettinger, shériffe : elle deviendra une héroïne majeure du polar états-unien.
FOG peut donner, lorsqu’il cède trop à ses penchants flagornifs, l’impression qu’il a zéro limite.
L’auteur imagine un virus mortel et un Grand Président qui règne par le mensonge.
Nous n’allons rien « assumer » du tout de l’extraordinaire incurie de l’État et de son chef.
Les louanges étatiques sont adressées à des professions sacrifiées sur l’autel austéritaire.
Monique Canto-Sperber avait annulé, en 2011, une conférence sur Israël animée par Stéphane Hessel.