Pour la route
Depuis la mise en route de ce bloc-notes (bientôt dix ans déjà !), j’ai choisi, pour la dernière livraison de l’année (scolaire), celle qui va vous faire tout l’été, puisque Politis ferme au mois d’août, et qui perdrait vite de sa pertinence si j’y traitais de l’actualité chaude : j’ai choisi de consacrer mes deux pages aux bouquins. Un peu comme une séance de rattrapage pour quelques ouvrages restés en souffrance sur mon bureau, dont je n’ai pas trouvé le temps de vous toucher un mot pendant l’année – quelques, seulement, parmi des dizaines d’autres – et qui méritent pourtant d’être portés à votre connaissance, ne serait-ce que d’une mention. Voici donc, dans un semblant de classement – et pardon pour ceux qui restent sur le carreau, toujours les plus nombreux –, un survol d’une année de parutions diverses ; enfin, de ce que j’ai reçu dans ma cambrousse. En toute subjectivité. Des livres pour la route.
– Essais politiques :
la France est un pays où l’homo politicus se doit d’inscrire son patronyme sur la couverture d’un livre. Le plus souvent écrit par un autre, ce qu’on appelle « un nègre ». J’ai
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