Le dépeçage de la chose publique

Les indignés grecs rejettent le deuxième plan d’austérité réclamé par l’Union européenne et le FMI, qui comprend des privatisations chiffrées à 50 milliards.

Thierry Brun  • 23 juin 2011 abonné·es

Le 16 juin, le Fonds monétaire international (FMI) lance un ultimatum à la Grèce. L’institution de Washington accordera un prêt contre un nouveau plan d’austérité, qui s’ajoute aux mesures de rigueur déjà décidées en 2010. Le FMI a renouvelé cette exigence auprès du gouvernement de Georges Papandréou, alors que les manifestations des indignés contre l’austérité se succèdent. Ainsi, à la réforme

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Temps de lecture : 2 minutes