Un dossier vide qui n’en finit pas

Trois ans après le sabotage des lignes de TGV, l’instruction de l’affaire se poursuit jusqu’à l’absurde. Une « erreur d’État» qui ne veut pas s’avouer…

Claude-Marie Vadrot  • 15 mars 2012 abonné·es

Il suffit d’avoir croisé Julien Coupat pour se retrouver un jour en garde à vue, interrogé par la police ou discrètement persécuté. Idem pour l’un des neuf autres de « l’affaire Tarnac » mis en examen pour « association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte terroriste » , ou même l’un de leurs amis ou connaissances.

Malheur à ceux qui ont déjà téléphoné à un membre de la « Cellule invisible » inventée par Michèle Alliot-Marie en 2008, alors qu’elle était ministre de l’Intérieur. Leur vie privée, leurs conversations, leurs habitudes, leurs fréquentations, leurs familles seront

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Police / Justice
Temps de lecture : 3 minutes

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