Le pape, un fervent misogyne
Quand il s’agit de la place des femmes dans la société, Jorge Mario Bergoglio, alias François, s’inscrit dans la tradition la plus réactionnaire. Les citations suivantes en font foi.
dans l’hebdo N° 1245 Acheter ce numéro
Donc, Habemus papam … Et c’est un concert de louanges : « François » serait un ami des pauvres. Un pape aux pieds nus, contempteur des puissances de l’argent. Mais, nous dit-on, bien conservateur dans le domaine des mœurs. Il y a peu de chances, par conséquent, pour que Jorge Mario Bergoglio permette une évolution sur la question de l’ordination des femmes, qui mobilise pourtant plusieurs associations catholiques…
L’Église et les femmes, c’est une longue histoire de misogynie. Et ce n’est pas Joseph Ratzinger, alias Benoît XVI, qui risquait de faire évoluer la doctrine sur ce point. Le conservatisme se cache parfois sous une dialectique retorse. Dans une lettre aux évêques de 2004, il louait la « capacité unique [des femmes] de faire face à l’adversité, de rendre la vie encore possible même dans des situations extrêmes, de conserver un sens de l’avenir et […] le prix de toute vie humaine ». Si l’on décrypte, on devine que le pape démissionnaire aurait tôt fait de transformer les femmes en militantes anti-avortement. Il a manifesté la même « admiration » en