Cinq mensonges sur la dette grecque
Non, les contribuables français ne paieront pas pour les Grecs. Non, le pays n’est pas redevenu « compétitif ». Oui, une « contagion » serait positive…
dans l’hebdo N° 1341 Acheter ce numéro

Depuis l’arrivée de Syriza au pouvoir, beaucoup d’impostures et d’approximations circulent autour de la dette grecque. Décryptage.
« La dette coûtera cher aux Français »
« Un défaut sur la dette grecque coûterait 40 milliards d’euros à la France », peut-on lire dans le Figaro du 23 janvier, ce qui représenterait 735 euros par contribuable. Cet argument selon lequel une difficulté de la Grèce à rembourser sa dette publique conduirait à augmenter les impôts en France est faux. La Grèce ne veut pas faire défaut sur sa dette publique, qui s’élève à près de 325 milliards, mais la restructurer pour la rendre soutenable. D’autre part, la France, qui possède plus de 40 milliards d’euros de titres, a
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