No pasarán, mais un peu quand même
Les mêmes qui prétendent barrer le passage à l’extrême droite lui ont ouvert un boulevard.
dans l’hebdo N° 1431 Acheter ce numéro

L’autre jour – samedi – y avait, comme l’annonçait le Parti « socialiste » (P« S ») à gros renfort de tweets, la « Grande convention nationale de la Belle Alliance populaire ». (Soit dit en passant : je n’ai, pour ce qui me concerne, toujours pas bien compris ce que c’était que ce truc.)
Le chef desdits « socialistes », Jean-Christophe Cambadélis (J2C), était là, et tout d’un coup, dans le cours de son intervention, ses nerfs ont lâché : il a commencé à se prendre pour la colonne Durruti, le pauvre, et à balancer du no pasarán long comme le bras.
Genre : « Nous ne voulons pas qu’ils passent ! »
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Sébastien Fontenelle est un garçon plein d’entrain, adepte de la nuance et du compromis. Enfin ça, c’est les jours pairs.
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