« Gilgamesh» : Le premier superhéros

Le trait expressif de Jens Harder donne forme et couleur au roi Gilgamesh, figure fondatrice de tous les grands récits de nos civilisations.

Pouria Amirshahi  • 25 avril 2018 abonné·es
« Gilgamesh» : Le premier superhéros
© Images : DR

Repéré en 2002 à Angoulême par l’éditeur Thierry Groensteen, Jens Harder est aujourd’hui reconnu comme un auteur hors-norme. Après Leviathan (1) et La Cité de Dieu (2), il s’est surtout imposé dans la dernière décennie avec deux fresques grandioses, Alpha… directions et Beta… civilisations (3), rien de moins ! La puissance du trait expressif de l’auteur allemand revient cette fois avec la mère de toutes les mythologies, l’épopée de Gilgamesh.

Saisir ce récit tentait Jens Harder depuis ses études à l’école d’Art de Berlin. Dans l’œuvre babylonienne-sumérienne, il découvre la généalogie des grands récits : le Déluge et l’Arche de Noé mais aussi, avant la Bible, les exploits d’Héraclès et les récits homériques. Figure

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Littérature
Temps de lecture : 4 minutes
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