Festival d’Avignon : Exilés de l’intérieur

L’artiste iranien Gurshad Shaheman croise subtilement deux thèmes centraux du festival : la migration et le genre.

Anaïs Heluin  • 16 juillet 2018 abonné·es
Festival d’Avignon : Exilés de l’intérieur
© Photo : Christophe Raynaud de Lage

Dans leur pays d’origine, on ne joue ni avec le genre ni avec la sexualité. Alors, même sans la guerre, ils auraient été forcés de fuir. De rejoindre Calais par exemple, où Gurshad Shaheman a commencé ses recherches pour Il pourra toujours dire que c’est pour l’amour du prophète. Ou d’aller jusqu’à Beyrouth ou Athènes, où il a mené de longs entretiens avec des artistes et des membres de la communauté LGBT. Avant

Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !

Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :

Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
(mot de passe oublié ?)
Théâtre
Temps de lecture : 2 minutes