Dengue : « C’est quasi impossible de se protéger du moustique »

Enseignante-chercheuse à La Réunion, Nathalie Becker a contracté la dengue, de même que son mari et leur fils. Elle témoigne.

Ingrid Merckx  • 28 novembre 2018 abonné·es
Dengue : « C’est quasi impossible de se protéger du moustique »
© photo : YURI CORTEZ / AFP

Elle était assise sur la terrasse. « Il y avait trois ou quatre moustiques sur moi. Je me suis dit : soit c’est fait, soit je passe au travers. » Nathalie Becker a déclenché une dengue quelques jours plus tard. Puis ç’a été le tour de son mari et de leur fils de 15 ans. « Heureusement, on était en décalé. » Toute leur rue du quartier d’Étang-Salé a été malade en avril. Aux premiers symptômes de fièvre, son compagnon, chirurgien, leur a prescrit une prise de sang. Le laboratoire ayant confirmé le diagnostic, ils se sont déclarés chez un généraliste et sont rentrés se coucher. « J’ai été à plat pendant une semaine. Des poussées

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Écologie
Temps de lecture : 3 minutes