Marius Jouanny
Marius Jouanny

Journaliste spécialisé BD / Instagram : mariusjouanny

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« La Ville » : qui sont vraiment les zombies ?
BD • 11 juin 2025 abonné·es

« La Ville » : qui sont vraiment les zombies ?

Le dessinateur Nicolas Presl s’approprie le mythe des morts-vivants.
Par Marius Jouanny
« Écrire Mazan » : avec Gisèle Pelicot, sortir de la sidération
Livre • 11 juin 2025 abonné·es

« Écrire Mazan » : avec Gisèle Pelicot, sortir de la sidération

Élise Costa a suivi chaque journée du procès de l’affaire Mazan qui a secoué l’année 2024. Pour ne pas perdre pied devant des faits aussi effroyables, la chroniqueuse a noirci les pages d’un carnet qui mêle réflexions, dessins et prise de recul sur sa pratique journalistique.  
Par Marius Jouanny
« Barcarolle », un rêve sans fin
Roman photo • 30 avril 2025 abonné·es

« Barcarolle », un rêve sans fin

Tandis que le roman-photo tente un retour en grâce depuis quelques années, le cinéaste et illustrateur Jean Lecointre publie un récit survitaminé qui pourrait devenir le meilleur ambassadeur de ce genre sous-estimé.
Par Marius Jouanny
« Je viens d’un pays qui n’existe plus »
BD • 26 mars 2025 abonné·es

« Je viens d’un pays qui n’existe plus »

Trente ans après la fin de la guerre en ex-Yougoslavie, Christophe Dabitch et Jorge González la racontent dans une BD qui dissèque l’emballement meurtrier en temps de guerre ethnique.
Par Marius Jouanny
« Pour un artiste palestinien, c’est impossible d’ignorer le génocide à Gaza »
Entretien • 5 février 2025 abonné·es

« Pour un artiste palestinien, c’est impossible d’ignorer le génocide à Gaza »

Illustrateur et caricaturiste de presse, Mohammad Sabaaneh témoigne de l’oppression du peuple palestinien à travers ses dessins et ses livres comme Je ne partirai pas, qui a reçu le prix du Palestine Book Awards en 2022, et 30 Secondes à Gaza.
Par Marius Jouanny
BD : à Angoulême, des burgers indigestes
Festival • 29 janvier 2025 abonné·es

BD : à Angoulême, des burgers indigestes

L’organisation du Festival d’Angoulême et le choix de ses sponsors suscite des oppositions pour sa 52e édition. En parallèle, une programmation « off » s’enrichit et un carnaval des luttes s’organise.
Par Marius Jouanny

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