Tomates frappées

Politis  • 22 mars 2007 abonné·es

Deux études viennent à nouveau semer le doute sur l’innocuité supposée des ondes de téléphonie mobile. Des chercheurs de l’université de Clermont-Ferrand ont montré qu’à des valeurs de champ de 5 volts par mètre, très inférieures à celles qu’autorise la loi, des tissus de tomates subissent des lésions semblables à un choc. Une autre étude révèle des signes de vieillissement de la peau lorsqu’elle est exposée à des ondes de fréquence utilisées par la téléphonie mobile.