Droit

Politis  • 13 septembre 2007 abonné·es

Gérer les demandes en fonction de l’existant plutôt qu’adapter l’offre aux besoins : c’est ce à quoi risque de se réduire la fameuse loi sur le Droit au logement opposable (Dalo), promulguée le 5 mars. Le décret d’application première version préparé par le ministère du Logement et de la Ville de Christine Boutin est, d’après certains membres du comité de suivi, très en deçà de ce que la loi préconise. Autre exemple : seulement quatre catégories de personnes seraient proiritaires contre les six prévues. Exit les personnes sans logement et celles qui vivent dans des logements insalubres. Une autre séance de consultation devrait avoir lieu d’ici à la fin septembre.

Société
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