Le prix du sang

À travers trois affaires criminelles, Bernard George démonte le mécanisme des emballements médiatiques.

Jean-Claude Renard  • 13 décembre 2007 abonné·es

Coupables, forcément coupables. Dans les journaux, aux yeux de l'opinion. Avant d'avoir été jugés. Coupables médiatiques. Et plus le crime est horrible, mieux la machine s'ébranle. Balle peau pour les innocents entraînés dans l'hystérie collective. Telle est « la mécanique du pire » démontée par Bernard George, suivant trois exemples : les accusés d'Outreau, Jean

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Médias
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