Gênes, 2001: Veltroni découvre les violences policières
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À trois semaines des élections, Walter Veltroni vient enfin d’admettre les violences policières du G8 de Gênes en 2001. Alors qu’il s’y était jusqu’ici refusé, le leader du Parti démocrate en Italie s’est fendu d’un appel du pied en direction des électeurs sur sa gauche, en reconnaissant notamment les exactions des carabiniers à la caserne Bolzanetto, où furent amenés et frappés durant plusieurs jours les manifestants interpellés. Des faits depuis longtemps qualifiés de «tortures» par l’autorité judiciaire. Veltroni a cependant omis de rappeler que ses amis du centre-gauche au pouvoir ont, depuis, promu les chefs de la police en poste à Gênes en 2001…
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