La femme qui pleure

En Chine, où l’on ne plaisante guère avec la tradition des pleureuses, Liu Bingjian fricote avec l’immoralité.

Christophe Kantcheff  • 27 mars 2008 abonné·es

La jeune madame Wang aurait de quoi pleurer. Pour survivre, elle vend des CD et des DVD piratés à Pékin, où elle est mariée à un bon à rien qui dépense l'argent du ménage dans le jeu. Elle récupère même, contre son gré, un enfant abandonné, juste avant que son mari ne soit jeté en prison pour avoir tué,

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Culture
Temps de lecture : 2 minutes