Piètre défense

Politis  • 9 octobre 2008 abonné·es

« Je suis incapable d’acheter un pistolet en plastique pour ma petite-fille, alors vous pensez, un trafic d’armes… » C’est l’argument avancé, sur France Inter, lundi, par Paul-Loup Sulitzer, poursuivi avec quelques sommités – Charles Pasqua, Jean-Christophe Mitterrand, Pierre Falcone, Arcadi Gaydamak, Jacques Attali… – dans « l’Angolagate », pour plaider son innocence. Et pourquoi a-t-il été « payé en petites coupures usagées dans des enveloppes, si c’était de l’argent propre » ? « Les coupures usagées ont servi aussi bien au patronat, au Medef, dans toutes les grandes entreprises » , explique l’écrivain financier. Une bien piètre défense.

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