Liberté surveillée
Dans « Ma solitude s’appelle Brando », Arno Bertina évoque un de ses aïeuls, qui, entre Gironde et Afrique, s’est affranchi des a priori moraux de sa famille.
Article paru
dans l’hebdo N° 1026 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1026 Acheter ce numéro
On pourrait l’avoir lu cent fois. Le romancier Arno Bertina consacre un livre à l’un de ses aïeuls, né en 1910, administrateur des colonies en Afrique à partir de la fin des années 1930, puis préfet à Djibouti. Pourtant, Ma solitude s’appelle Brando ne ressemble à rien d’autre
Envie de terminer cet article ? Nous vous l’offrons !
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Vous préférez nous soutenir directement ?
Déjà abonné ?
Temps de lecture : 3 minutes
Pour aller plus loin…

Livre • 25 janvier 2023
abonné·es
« 7 femmes en scène » : rallumer les étoiles
Dans un passionnant essai, Juliette Riedler convoque sept artistes d’époques et de pratiques différentes. À travers des portraits singuliers, elle met au jour des mécanismes d’émancipation possible par la scène.
Par Anaïs Heluin

Entretien • 25 janvier 2023
abonné·es
Ariane Ascaride : « Je veux faire entendre la modernité de Brecht »
En compagnie du compositeur et accordéoniste David Venitucci, Ariane Ascaride interprète Du bonheur de donner, à partir de poèmes de Bertolt Brecht. Alliant des thèmes étonnamment actuels et une riche palette d’émotions, ce spectacle magnifique ressemble de près à la comédienne. Rencontre.
Par Christophe Kantcheff

Cinéma • 25 janvier 2023
« Ashkal, l’enquête de Tunis » : feu glaçant
Youssef Chebbi met en scène une étrange affaire d’immolations en série au cœur d’un quartier fantomatique.
Par Christophe Kantcheff

Cinéma • 24 janvier 2023
abonné·es
« Retour à Séoul » : une femme actuelle
Davy Chou brosse le portrait d’une jeune fille partagée entre deux pays, indépendante et à la recherche d’elle-même.
Par Christophe Kantcheff