Splendides frustrations
Carlotta Films publie un nouveau coffret de quatre mélodrames de Douglas Sirk. Aux films splendides et corrosifs correspondent des suppléments stimulants.
dans l’hebdo N° 1032-1033 Acheter ce numéro
Si Rainer Werner Fassbinder a pu revendiquer Douglas Sirk comme un maître, c’est parce que ce représentant du classicisme triomphant des années 1950, ce héraut du mélodrame ne s’exprimant parfaitement qu’au sein d’une production hollywoodienne haut de gamme, sentait singulièrement le souffre. Il suffit de voir Dorothy Malone en combinaison dans l a Ronde de l’aube , se mouvoir dans le noir et blanc sensuel du très grand chef opérateur, Russell Metty, pour être saisi par la charge érotique explosive de la comédienne, alors que
Il vous suffit de vous inscrire à notre newsletter hebdomadaire :
Pour aller plus loin…

« Le Balai libéré », ou ce que le capitalisme a fait au rêve autogestionnaire

La Ménagerie de verre, un laboratoire du possible

« The Killer » : différentes nuances de noir
